dimanche 31 juillet 2016

Vyazma 87km +688m

Pas de petit dèj servi à l'hôtel donc Patrice et Chantal ont fait les courses et nous déjeunons dans la cour  au soleil.


Nous traversons la rivière et grimpons pour sortir de la ville. Ensuite nous empruntons une route agréable. 
Nous passons près d'une centrale de gaz, puis longeons de grosses canalisations. Nous les longeons tellement bien que nous oublions de tourner à droite. Marc sprinte pour nous rattraper.



       C'était trop beau cette petite route, la voici qui se transforme en piste :


Heureusement ce n'est pas long. Mais cela recommence encore un petit bout.




Et de nouveau nous retrouvons des pierres, des trous, des mares et surtout du sable.......pour combien de temps...?

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En plus, nous sommes entourés d'une quantité impressionante de taons qui nous sucent le sang. Si nous nous arrêtons, c'est pire.

 Mon vélo auquel j'en ai déjà beaucoup enlevé. Ça ne roulait plus. Difficile aussi de déchausser tellement nos pédales automatiques ont de sable. Cela devient casse-gueule, D'ailleurs ça tombe ( 4 en douceur ).

Après les taons, les moustiques!




 Attention, passage piétons!


Un téléphone pour deux maisons:

Et voilà enfin du goudron comme cela tout d'un coup, pas de hameau, pas de carrefour...? Heureux après 14,4km de piste avec une douzaine de km de sable.
Nous trouvons rapidement un coin de pique-nique car il est plus de 13h et nous avons faim.
Un nettoyage des vélos s'impose.


Encore 40km pour boucler l'étape.



Ce soir, 1000km au compteur depuis Vilnius et nous avons franchi les 300m d'altitude..

samedi 30 juillet 2016

Dorogobuzh 124km +548m

Départ vers 8h sous le soleil.




Nous voyons la porte de l'église ouverte donc allons pour voir l'intérieur mais il semble que ce soit une maison vus les meubles que nous voyons et cette petite fille.







       Les maisons sont  plus tristes qu'en Biélorussie,.


     Pub pour les nouveaux cuissards de la fédé ASPTT.
      Quelques mètres de piste avant de retrouver le goudron du pont.

Mais cela repart pour une dizaine de km de pierres, sable....il y en a épais par moments. Ça dérape, tombe , explose ( la roue pas la personne! )


















Tout le monde se retrouve et nous pique-niquons km77.


Fin d'étape tranquille, Nicole et moi profitons du savoir de Jean-Pierre pour étoffer notre pauvre vocabulaire russe.  Celui qui parle le mieux est Joël.
Nous arrivons à Dorogobruzh et trouvons facilement l'hôtel. Accueil familial. Nous avons un peu de mal à faire comprendre que nous ne voulons pas laisser les vélos dehors dans la cour fermée mais cela s'arrange, ils seront ce soir dans une maison en chantier.
Les chambres dont distribuées, il y a des favorisés:


      Vue la pression de l'eau, il faudrait 2h pour la remplir...une cabine de douche est regrettée par les occupants de cette chambre .

Dorogobruzh:



       Nous mangeons dans un café auprès d'une famille russe et tout le monde danse, il n'est que 20h.




Voiture de police